Ne sur la toile de l'amour
Ecrit par la main du divin
Jailli d'une lumiere sans contour
Ismael du premier Humain
Habille de la foi, du certain
Multiple est l'Un
22.6.09
18.5.09
Eau de vie
Je me tiens tranquille
Comme une graine en terre
Attendant la grâce du ciel
La pluie viendra et
Se sera le plus beau jour
Elle est pluie car je suis graine
Et quand elle me donne la vie
Elle est graine et je suis pluie
Comme une graine en terre
Attendant la grâce du ciel
La pluie viendra et
Se sera le plus beau jour
Elle est pluie car je suis graine
Et quand elle me donne la vie
Elle est graine et je suis pluie
Marcher sans les voiles

De la certitude nait la foi
De la foi nait l'espérance
De l'espérance nait la délivrance
Des chaines de ce monde
Jonchent l'existence
Du cadenas du temps
L'esprit est la clé
Jour comme nuit
Il ne fait que traverser
Les plaines étendues
Et les montagnes escarpées
De la lumière souffle la vérité
Que l'ombre de la matière a caché
De la foi nait l'espérance
De l'espérance nait la délivrance
Des chaines de ce monde
Jonchent l'existence
Du cadenas du temps
L'esprit est la clé
Jour comme nuit
Il ne fait que traverser
Les plaines étendues
Et les montagnes escarpées
De la lumière souffle la vérité
Que l'ombre de la matière a caché
13.11.08
Le disciple

Toi qui nous à fait vie
Toi qui nous à fait arbre
Toi qui nous à fait fruit
De la chaleur d'un feu ardent
Qui purifie intérieurement
Il fait de mon cœur
Un lieu de recueillement
Pour mon âme
Qu'il libère des tourments
Il a remplacé mon amour
Par un amour plus grand
Si je le quitte je me sent absent
Sans lui je suis mort
Avec lui je suis vivant
Il m'élève je suis son fils
Il m'élève je suis son fil
Il est le tout puissant
Celui qui n'a pas de fin
N'a pas de commencement
Celui qui n'a pas de mort
N'est pas né
14.10.08
Raisonance
Quand l’armée d’amour ravagera la planète
La cruauté demandera aux ténèbres de la cacher
La cupidité prêtera à l’avarice pour payer ses dettes
L’orgueil enfoncera le bout de son nez dans le nombril de la vanité
Le mal souffrira en se tordant de douleur sous ses propres coups
La haine et l’intolérance s’entretueront excitées par la jalousie
La crainte fuira par peur d’être effrayée par cette scène
Le tigre dormira avec la perdrix
31.7.08
Sein, sain, saint
Nourris ton esprit et ton corps
Fruits sains pour t'élever
Fuit les mets gâtés
Qui nuisent à ta sainteté
Ne te laisses pas séduire
Le mal est facilité
De céder à ses pulsions
Pour les anesthésier
Mais guérit les
En guerrier
L'épée à la main
Bras ceint du bouclier
Car elles reviennent
A la charge pour t'achever
N'aie crainte de te tromper
Aie crainte d'estomper
Ton pas vers le salut
Tu ne dois pas trébucher
Bien des pierres
Bien des rochers
Sur le passage
Contourne les
Bien des illusions
Bien des mirages
Sur le chemin
Contourne les
Ta pureté est ton trésors
Fait le bien garder
Car les voleurs
Veulent ta dignité
Tu dois être humble
Car l'orgueilleux
C'est trompé
Abaissé en route
Il viendra à mendier
Jeune pour savoir
Ce qui est vérité
Car parmi ces aliments
Ton âme ne doit pas se tromper
Si on a coupé tes ailes
Alors vas sur tes pieds
Si l'on t'attire vers le bas
Continue à monter
Les poids monterons avec toi
Vers la liberté
Amour et paix
Aliments d'éternité
Lait du seul sein
Que pleure l'humanité
Fruits sains pour t'élever
Fuit les mets gâtés
Qui nuisent à ta sainteté
Ne te laisses pas séduire
Le mal est facilité
De céder à ses pulsions
Pour les anesthésier
Mais guérit les
En guerrier
L'épée à la main
Bras ceint du bouclier
Car elles reviennent
A la charge pour t'achever
N'aie crainte de te tromper
Aie crainte d'estomper
Ton pas vers le salut
Tu ne dois pas trébucher
Bien des pierres
Bien des rochers
Sur le passage
Contourne les
Bien des illusions
Bien des mirages
Sur le chemin
Contourne les
Ta pureté est ton trésors
Fait le bien garder
Car les voleurs
Veulent ta dignité
Tu dois être humble
Car l'orgueilleux
C'est trompé
Abaissé en route
Il viendra à mendier
Jeune pour savoir
Ce qui est vérité
Car parmi ces aliments
Ton âme ne doit pas se tromper
Si on a coupé tes ailes
Alors vas sur tes pieds
Si l'on t'attire vers le bas
Continue à monter
Les poids monterons avec toi
Vers la liberté
Amour et paix
Aliments d'éternité
Lait du seul sein
Que pleure l'humanité
13.5.08
9.3.08
28.2.08
"L'un visible".

Tu me décris
Et mes mots les plus fous ne sauront te décrire
Mille fois je renais par ton souffle et je suis
Mille fois je te fuis
Mille je te trouve
Je t'oublie, tu me nourris
Je m'insurge, tu me souris
Et tu ouvres mon coeur à Ton être infini
Chercher ton nom est ignorance
Seules les bouches bées te prononcent
En profonde connaissance
De Ta présente absence
De Ta lumière en quinconce
Révolté sur moi-même dans la quête du néant
Dans l'effort du retour, du féé au féant
Pardonnes ma souffrance, mes contradictions
Pardonnes mes prières, mes plaintes
Je ne suis que par Ta conception
Une créature de crainte
Mais Ton feu entre mes yeux
Me dérobe du Deux
Me maintient en battement
Entre crête et creux
Tu m'écris
Et mes choix les plus vifs ne pourront
Sur l'hélice du temps écrire
Qu'une vague impression
Qu'une vague de pressions.
Une empreinte
Ephémère étreinte.
Et mes mots les plus fous ne sauront te décrire
Mille fois je renais par ton souffle et je suis
Mille fois je te fuis
Mille je te trouve
Je t'oublie, tu me nourris
Je m'insurge, tu me souris
Et tu ouvres mon coeur à Ton être infini
Chercher ton nom est ignorance
Seules les bouches bées te prononcent
En profonde connaissance
De Ta présente absence
De Ta lumière en quinconce
Révolté sur moi-même dans la quête du néant
Dans l'effort du retour, du féé au féant
Pardonnes ma souffrance, mes contradictions
Pardonnes mes prières, mes plaintes
Je ne suis que par Ta conception
Une créature de crainte
Mais Ton feu entre mes yeux
Me dérobe du Deux
Me maintient en battement
Entre crête et creux
Tu m'écris
Et mes choix les plus vifs ne pourront
Sur l'hélice du temps écrire
Qu'une vague impression
Qu'une vague de pressions.
Une empreinte
Ephémère étreinte.
27.2.08
Tous un.
Ô yeux qui pleurent d'impatience
Vos larmes tissent, d'eau, les reliures de ma science
Votre blanc m'enrobe
Linceul de mon corps à l'Aube
Ô corps affaiblis
Par le poids du non-dit
Du mystère révélé
Votre acier est coulé
N'ayez peur du temps
Cet esclave couronné
Que l'Amour miroitant
Soit votre unique monnaie
La substance est modelé
Pour subir vos regards
La lumière de vos coeurs
Vous guidera dans le noir
N'ayez peur des tyrans
De la faim, de la soif
Appartient l'océan
A qui du vent, se coiffe
Sur les traces de vos pas
Dansera l'univers
Et vos chants un repas
Qui nourrira la terre
Ô âmes de diamant
La liberté est vôtre
Des illusions de pouvoir
Votre force est autre
Votre force est nature
Pure
Volonté sans question
Intellect de passion.
Vos larmes tissent, d'eau, les reliures de ma science
Votre blanc m'enrobe
Linceul de mon corps à l'Aube
Ô corps affaiblis
Par le poids du non-dit
Du mystère révélé
Votre acier est coulé
N'ayez peur du temps
Cet esclave couronné
Que l'Amour miroitant
Soit votre unique monnaie
La substance est modelé
Pour subir vos regards
La lumière de vos coeurs
Vous guidera dans le noir
N'ayez peur des tyrans
De la faim, de la soif
Appartient l'océan
A qui du vent, se coiffe
Sur les traces de vos pas
Dansera l'univers
Et vos chants un repas
Qui nourrira la terre
Ô âmes de diamant
La liberté est vôtre
Des illusions de pouvoir
Votre force est autre
Votre force est nature
Pure
Volonté sans question
Intellect de passion.
21.2.08
La marmite
18.2.08
Electrons.
Dans nos atomes nous habitons
Et sans y être, nous y faisons
Dans nos péchés est le pardon
Car Babylone est sur le Sion.
La force est un chemin
Une certitude sans fin
Mais nos visions du rien
Dissimulent le lien.
Le désir est commun
Au moment opportun
Nous volerons en embrun
Sur le vent de l'aucun
Electrons se délectant
D'un détour du néant
Parce que les ailes d'un géant
Ne seraient pas de plumes.
Allumes la chaleur de ton nom
Elu, mais électron.
Et sans y être, nous y faisons
Dans nos péchés est le pardon
Car Babylone est sur le Sion.
La force est un chemin
Une certitude sans fin
Mais nos visions du rien
Dissimulent le lien.
Le désir est commun
Au moment opportun
Nous volerons en embrun
Sur le vent de l'aucun
Electrons se délectant
D'un détour du néant
Parce que les ailes d'un géant
Ne seraient pas de plumes.
Allumes la chaleur de ton nom
Elu, mais électron.
4.2.08
Yin
Malgré moi, arraché par la terre à la terre
Emporté par les vents de ma quête
Ton visage m'a appris à survivre
De ton vin, jour et nuit, je m'enivre.
Je t'ai vue toute nue
Ce matin là, dans le jardin d'Eden
Avant même que les oiseaux ne viennent
Tu étais magnifique,
comme l'aurore d'une forêt
Avant même que mon coeur ne se crée.
Ton corps était ensoleillé
comme un champs de blé
Avant même que tu ne boives ton thé.
Tu étais, dans le miel
Une saveur essentielle
Avant même qu'on ne m'appelle.
Tu es, seule, celle qui est
Pour l'éternité
Ce qu'un jour elle était.
Ni futur, ni passé
Telle tu fûs, telle Tu es.
Au matin tu renaîs.
20.1.08
A quoi bon
Toi qui te tournes vers ton prochain
Pour y trouver la justification
Consulte donc celui qui
Préside au tribunal de l'univers
Quelque soit ton rang
Aux yeux des règles humaines
Il te donnera ta rétribution
Dans ta poitrine il n'y a qu'un cœur
Saches par qui il bat
Ne sort pas de la pulsation
Elle guide les pas de ceux qui écoute
Pourquoi ne pas ajourner ces affaires
Qui vous tiennent par leur cout
Pour cette gloire gorgée de honte
Quand il sera l'aube d'un grand soir
Vous vous verrez partir
Alors que les vraies oeuvres
Vous ne les avez pas remarqués
A quoi bon avoir été ?
Est ce maintenant que vous comprenez ?
Lorsqu'il est trop tard pour aimer
Que le poisson vous a glissé des mains
Votre papier est brûlé
Imbibé de sang
Comment pourrez vous
Y lire les lignes de votre vie ?
16.1.08
Aveugles
13.1.08
Le miroir ombilical
Le nouveau né en entrant
Crie la douleur de sa mère
En sortant vers la matière
Dans une antre en lumière
Il s’étonne de l’oubli
Par le là de l’ici
S’émerveille de la pluie
De la danse des poussières
Il apprend.
Tout est clair.
Il est dit.
Quand commence le désir
D’être fini
Quand commence la folie
De la crainte de mourir
Ne cherches plus l’amour
Ne cherches plus la vie.
Il est dit.
Accouches de toi-même
Vers toi-même
Et tu seras ton espoir
De briser le miroir.
De voir.
Il est dit.
Que les mouettes sont parties, il est dit.
15.12.07
L'Etoile
.jpg)
Oh étoile
Toi qui danse
Et scintille
Dans la nuit
Seule
Ton regard
Caresse mon âme
De sa lumière
Tu parles à mon coeur
Avec ses jeux de couleurs
Tu viens me chercher
Tu m'attends
Tu peux me toucher
Tu m'éprends
Ta visite est espoir
Dans le néant d'un soir
Guide pour mes soupirs
Ta présence est un sourire
Esquissé sur le visage de la nuit
Cette beauté tu la tiens de ton père
Dont la maison se nomme univers
Dont les enfants savent le nom
Tu es un signe de son oeuvre
Tu viens apporter la preuve
Nous saurons tous cela bientôt
En attendant le véritable cadeau
Présent pour les générations
Tu es le héraut de la délégation
Mais ton char suis sa course
A demain si tu es de l'ourse
Adieu si tu es un messager
Ta parole a été délivré
Je peux enfin m'évader
14.12.07
A l'aube
30.11.07
La libératrice
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Toi le vampire du chateau
Ton empire tue les oiseaux
Endormis couchés dans l'herbe
A l'aurore les orants sont sans verbe
Prisonnières dans ton domaine
Ces familles que tu domines
Du haut de ta haine autaine
Qui descend de la colline
Ton armure géante
Visitée par des morts
A l'allure pédante
Dans l'immonde décors
D'un palais blanc de peur
Un caillou dans le coeur
Le froid de ta terreur
Est le toit de ton erreur
Mais la pluie de chaleur
Détruira ta demeure
Ouvrant toutes les portes
Au bonheur qui m'escorte
25.11.07
Brumes et lumiere

Il est venu le temps des tempêtes
Le temps du savoir douloureux
Des couleurs invisibles et des bruits insondables
Elle arrive, elle arrive, la mort dans les yeux
Mi-humaine,et Mi-diable
La maîtresse des peureux
Et ses caisses remplies, de bonheur a revendre
"Bienvenu, dans l'illusion de prendre
Tu seras satisfait de ton corps
Satisfait de tes choix
Tu seras comblé de gibiers et de proies
Une armée te protègera,
on t'appelera "Le Roi""
J'ai éteint ma vision
Egorgé ma faim
J'ai déclaré ma fusion
avec ce Feu dont je suis plein
Et répondu, et au serpent, et a sa pomme
"Par cet air qui chuchote a mon coeur
Par le nom des noms, par le blanc des lumières
Par le sens de mon regard, le jour où on m'embaume
Par l'esclave, et le seigneur
Par le fils et le père
J'ai vendu mon âge
A la gardienne de la Porte
Et embrassé ses mains
Pour revenir a l'océan
Effacer les mirages
Que mon souffle les emporte
Et enflamme ses reins
Pour écraser le néant
Vas, tu seras obéie et suivie
Par des hordes de chiens
Tu sauras détruire ma patrie
Ma demeure et mon rien
Tu pourras déplacer le soleil
Mais jamais je ne metterai fin à ma veille
Et mes frères renaîteront comme le miel des abeilles
Sans fin,
Comme ce qui aime et s'émerveille"
Le temps du savoir douloureux
Des couleurs invisibles et des bruits insondables
Elle arrive, elle arrive, la mort dans les yeux
Mi-humaine,et Mi-diable
La maîtresse des peureux
Et ses caisses remplies, de bonheur a revendre
"Bienvenu, dans l'illusion de prendre
Tu seras satisfait de ton corps
Satisfait de tes choix
Tu seras comblé de gibiers et de proies
Une armée te protègera,
on t'appelera "Le Roi""
J'ai éteint ma vision
Egorgé ma faim
J'ai déclaré ma fusion
avec ce Feu dont je suis plein
Et répondu, et au serpent, et a sa pomme
"Par cet air qui chuchote a mon coeur
Par le nom des noms, par le blanc des lumières
Par le sens de mon regard, le jour où on m'embaume
Par l'esclave, et le seigneur
Par le fils et le père
J'ai vendu mon âge
A la gardienne de la Porte
Et embrassé ses mains
Pour revenir a l'océan
Effacer les mirages
Que mon souffle les emporte
Et enflamme ses reins
Pour écraser le néant
Vas, tu seras obéie et suivie
Par des hordes de chiens
Tu sauras détruire ma patrie
Ma demeure et mon rien
Tu pourras déplacer le soleil
Mais jamais je ne metterai fin à ma veille
Et mes frères renaîteront comme le miel des abeilles
Sans fin,
Comme ce qui aime et s'émerveille"
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