21.3.07

Un rouge à Tripoli


La foule me conforte dans ma solitude
Se disperse dans mes veines
Comme le sang de mon verre.
Je t'ai repeinte en rouge
Immonde créature de ma quête vaine
J'ai rempli tes vides par des mots incertains
Par le vide paisible de mon âme sereine
Volatire vérité, étincelle de mes yeux
Anonyme rebéllion d'une tempête de passion

Comment vivre avec Elle?
Mais que vivre sans Elle?
Je trébuche sur la terre
Ma demeure est le feu
Mon refuge est le ciel
Tripoli, le départ le retounr éternel
De la terre tu m'acquittes
Des chaînes du charnel
Tu tisses une prière, un nouveau Testament
Devenue le poème, l'amour et l'amant


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