22.11.06

Symphonie n° 4 en VIE majeur


Que la vie nous emporte,
Là où naissent les roseaux.
Que l'horizon nous acclame,
Comme se meurent les oiseaux

Je m’abreuve de ta sève,
Alors bois de mon sang.
Du vin et du verre jaillira la lumière,
Eclairant sur son chemin,
Le chemin des passants.

3 commentaires:

Laila a dit…

Il est stupefiant qu'un travail collectif puisse etre si solide. Fluide et sensible - On dirait qu'on lis l'oeuvre d'un seul ecrivain.
Au nom de vos lecteurs, svp ne vous cessez pas.

Anonyme a dit…

wow...im highly impressed...c magnifique...there is an incredible flow, a beautiful harmony of words and meanings....i wish u the best...xx

Dima EL SAYED a dit…
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